Lou-Andréa Lassalle-Villaroya
Salomé VI
2021
Dessin rotring, colorisation numérique , impression sur dibon, guirlande électriques programmées
DESPERANTO,
exposition collective
Zébra 3,
Fabrique POLA
Production : Zébra 3, Buyself
Une grande silhouette alanguie de femme à deux têtes tenant une tête coupée d'homme au bout d'un de ses bras. Deux représentation de se bras tenant la tête coexisterait sur ce même dessin, un le tenant contre elle, l'autre le dressant en l'air.
Inspiré de la série des Salomés le dessins sera dessiné à la main puis scanné et colorisé sous photoshop, imprimé sur métal ou dibon et découpé. Il sera placé sur une façade de manière à ce qu'il soit décollé de quelques centimètre de la paroi.
Un système de fixation de métal autour de l'image permettrai d'installer deux guirlandes lumineuses puissantes qui entourerait la silhouette, elles éclaireraient l’œuvre et clignoteraient alternativement créant un mouvement du bras dans la nuit.
L'idée et de pousser plus encore l'utilisation que je fais de référence d'histoire de l'art en enseigne de communication et de signalisation.
Qu'une représentation sortie tout droit d'un fait biblique fantasmé par un peintre du 14e siècle devienne la base d'un nouveau personnage féminin fantastique de mes fictions. Une pin up bicéphale terrorisant l'homme en posant souriante et triomphale exhibant un chef décapité ? Tel un trophée brandit, indiquant une direction ou signalant un lieu précis. Un endroit de débauche ou assouvir des fantasmes tus ? Une zone de jeu réservée aux femmes ou l'on peut chasser l'homme ?
Tel un signe du strip venturien annonçant une refonte de l'espace public en une révolution féministe et surnaturel.
Le club d'un monstre femme joyeux et terroriste dont la caractéristique est de se trimballer deux tête donc deux visages, deux cerveaux, tant de façon d'utiliser ce même corps mais parvenue à se mettre d'accord sur l'action de décapitation d'un homme.
Ce sont aussi des sœurs, une histoire de famille subie, contrainte en un seul corps, une pub pour l’extrême sororité … ?
Salomé VI, 2021
Dessin rotring, colorisation numérique , impression sur Dibon, guirlande électriques programmées
DESPERANTO, exposition collective, Zébra 3, Fabrique POLA
Une grande silhouette alanguie de femme à deux têtes tenant une tête coupée d'homme au bout d'un de ses bras. Deux représentation de se bras tenant la tête coexisterait sur ce même dessin, un le tenant contre elle, l'autre le dressant en l'air.
Inspiré de la série des Salomés le dessins sera dessiné à la main puis scanné et colorisé sous photoshop, imprimé sur métal ou Dibon et découpé. Il sera placé sur une façade de manière à ce qu'il soit décollé de quelques centimètre de la paroi.
Un système de fixation de métal autour de l'image permettrai d'installer deux guirlandes lumineuses puissantes qui entourerait la silhouette, elles éclaireraient l’œuvre et clignoteraient alternativement créant un mouvement du bras dans la nuit.
L'idée et de pousser plus encore l'utilisation que je fais de référence d'histoire de l'art en enseigne de communication et de signalisation.
Qu'une représentation sortie tout droit d'un fait biblique fantasmé par un peintre du 14e siècle devienne la base d'un nouveau personnage féminin fantastique de mes fictions. Une pin up bicéphale terrorisant l'homme en posant souriante et triomphale exhibant un chef décapité ? Tel un trophée brandit, indiquant une direction ou signalant un lieu précis. Un endroit de débauche ou assouvir des fantasmes tus ? Une zone de jeu réservée aux femmes ou l'on peut chasser l'homme ?
Tel un signe du strip venturien annonçant une refonte de l'espace public en une révolution féministe et surnaturel.
Le club d'un monstre femme joyeux et terroriste dont la caractéristique est de se trimballer deux tête donc deux visages, deux cerveaux, tant de façon d'utiliser ce même corps mais parvenue à se mettre d'accord sur l'action de décapitation d'un homme.
Ce sont aussi des sœurs, une histoire de famille subie, contrainte en un seul corps, une pub pour l’extrême sororité … ?